eFounders : le startup studio fondé par 2 entrepreneurs à succès qui ne voulaient pas devenir Business Angels.
La story de eFounders
Un startup studio avant l’heure
Après une success story story chacun de leur côté, l’idée de devenir business angels ne les enthousiasmait pas. Thibaud et Quentin sont des faiseurs. Ils aiment mettre les mains le cambouis. Dès 2011, ils lancent 3 projets en parallèle : Mailjet, Textmaster et Mention. « On adore réfléchir à des services rendus aux entreprises par le web, donc des softwares vendus à des entreprises de manière récurrente. ». Le premier gros challenge : valider qu’ils sont capables de créer plusieurs startups en simultanée. En parallèle, ils recrutent pour monter en compétences et automatiser les process.
ils lancent 3 projets en parallèle : Mailjet, Textmaster et Mention
Les bureaux d'eFounders
Naissance d’eFounders
2013. Le concept de startup studio commence à émerger aux USA. La mission de Thibaud, Quentin et leur équipe rapprochée, Amaury, Didier et Axel, est plus claire que jamais : Thibaud apporte un accent très stratégique et produit sur les services en SaaS. Quentin opère avec l’aide d’Amaury sur la partie administrative, financière et business development quand les projets prennent une certaine maturité. Didier est un associé créatif. Il s’occupe du design. Axel lui, de son côté, est totalement orienté sur le produit et le process de développement du produit. Les projets s’enchainent : Pressking (2013). Front (2014). Aircall (2014).Illustrio (2016). Hivy (2016). Forest (2016). Spendesk (2016)…
Le concept de startup studio commence à émerger aux USA
La team d'eFounders
La team d'eFounders
Just the beginning
En 6 années, l’équipe a beaucoup appris notamment sur le type de projet, le type de personne et sur le cycle de développement d’un projet au sein de la structure. Grâce aux projets lancés, ils ont déjà crée une valeur de 125 millions d’euros ainsi que 250 emplois. 2 startups ont déjà été revendues : Pressking en 2015 et Hivy en 2017. Le plus dur reste finalement le départ des projets vers d’autres horizons : « Quand une startup quitte le studio pour voler de ses propres ailes, c’est difficile. On utilise souvent la comparaison des enfants qui partent à l’université. C’est, d’un côté, une fierté d’avoir un projet qui gagne la confiance d’autres personnes impliquées financièrement. Et, de l’autre côté, c’est un peu difficile car nous sommes moins impliqués. »
